La révolution fut telle qu'on ne peut plus faire fi d'elle.
photo André Couture © 2003 Faxmédia

La révolution cubaine fut telle qu'on ne peut plus faire fi d'elle.
C'est dans ce cuna (berceau) au pied du lit de ses parents Angel Castro et Lina Ruz
que le futur Lider Maximo et Comandante Fidel Castro Ruz, futur élève des Jésuites,
futur étudiant en Droit à La Habana, futur révolutionnaire emprisonné par Batista
futur guérillero de la Sierra Maestra avec le Che Guevara,
Camilo Cienfuegos, son frère Raul et sa muse Celia Sanchez,
le père de la Révolucion moderne de Cuba a vécu les premières semaines de sa vie.

« Vous pouvez peut-être me convaincre que j'ai tort,
mais vous ne pouvez prétendre
que j'ai tort sans me convaincre.
»
le 31 octobre 1962 dans une lettre à Nikita Khrushchev.

Titres officiels
Doctor en Derecho Civil, Licenciado en Derecho Diplomático.
Doctor Honoris Causa de diversas Universidades Europa y América.
Fundador del Partido del Pueblo Cubano (Ortodoxo).
Fundador del Movimiento Revolucionario 26 de julio (M-26-7).
Presidente del Consejo de Estado.
Presidente del Consejo de Ministros.
Comandante en Jefe de las Fuerzas Armadas Revolucionarias (FAR).
Primer Secretario y Miembro del Buró Político del Partido Comunista de Cuba (PCC)


« Condenadme, no importa, La historia me absolverá. »
Discurso pronunciado por el Dr. Fidel Castro
ante el terminal de urgencia
de Santiago de Cuba
el dia 16 de octubre de 1953



Ci-bas, Fidel et Celia Sanchez débarquant du Sierra Maestra ... au paradis ? ; )

© Archivo Fotografico Fundacion Antonio Nunez Jimenez

Dans de nombreux pays dits du tiers-monde, Fidel Castro bénéficie d'une grande popularité, notamment en Amérique latine. Lors de son retrait du pouvoir en 2008, de nombreux chefs d'états lui ont rendu hommage. Lula da Silva, président du Brésil, l'a qualifié de « seul mythe vivant de l'histoire de l'humanité ».

Hugo Chávez, président du Venezuela, a quant à lui déclaré que « 
les hommes comme Fidel ne se retirent jamais ». Evo Morales en Bolivie, Daniel Ortega au Nicaragua, les dirigeants de l'ANC en Afrique du Sud, ou encore ceux du MPLA en Angola ont également assuré le président cubain de leur soutien.

D'autres personnalités politiques ou associatives sud-américaines ont manifesté leur admiration pour Fidel Castro. C'est le cas de Rosario Ibarra, sénatrice mexicaine, de João Pedro Stedile, président du Mouvement des sans-terre au Brésil, ou de Hebe de Bonafi, présidente de l'Association des mères de la place de Mai en Argentine. Portia Simpson-Miller, ex-Premier ministre de la Jamaïque, a affirmé « 
c'est une légende, un géant, un champion»

Adolfo Pérez Esquivel, argentin qui reçut le prix Nobel de la paix en 1980 pour son action en faveur des droits humains, dit avoir « 
toujours été étonné par l’humanité que dégageait Fidel Castro ». Il décrit le révolutionnaire comme « l’un des plus grands hommes d’État », un « homme de culture » et « un intellectuel avec une vision parfois quasi prophétique »

Eduardo Galeano, écrivain uruguayen, compare Fidel Castro à Don Quichotte. Il évoque la « 
volonté têtue et l'archaïque sens de l'honneur de ce chevalier qui sans cesse s'est battu en faveur des perdants, comme son fameux collègue des campagnes de la Mancha »

Gabriel García Márquez, colombien titulaire d'un prix Nobel de littérature, insiste sur « 
la confiance absolue qu'il place dans le contact direct », et écrit : « Son pouvoir est à la séduction. Il va chercher les problèmes là où ils sont. [...] Sa patience est invincible. Sa discipline est de fer. La force de son imagination le pousse jusqu'aux limites de l'imprévu. »

Bien qu'elles soient beaucoup moins nombreuses qu'en Amérique du Sud, certaines personnalités en France ont apporté leur soutien à Fidel Castro. Georges Marchais, ancien secrétaire général du Parti communiste français, était l'un de ses amis personnels. Danielle Mitterrand a également pris parti pour le gouvernement de l'île. Elle s'est rendue à la cérémonie organisée pour les 80 ans du dirigeant, tout comme l'acteur Gérard Depardieu.

Salim Lamrani, journaliste français, dit avoir été surpris, lors d'un meeting du président cubain, par "
la facilité qu'il a à dialoguer avec les gens, qui s'approchaient de lui et lui parlaient comme s'il était leur voisin de palier."

Ricardo Alarcón de Quesada, président de l'Assemblée Nationale de Cuba, explique ainsi les réélections successives de Fidel Castro : « 
Sa légitimité historique, ses qualités personnelles, [...] son autorité, son prestige au niveau international expliquent l'unanimité qu'il fait auprès des citoyens »; « il n'a jamais menti au peuple et ne s'est pas enrichi à ses dépens. [...] Pourquoi cesserions-nous d'élire un homme d'une stature aussi exceptionnelle ? » Il lui prête également une « capacité d'autocritique extraordinaire » et une grande intuition.

«
Le politicien le plus honnête et le plus courageux que j'aie jamais rencontré », selon le pasteur états-unien Jesse Jackson lors de visite à Cuba en 1984.

Source : wikipedia


Fidel, Vilma Espin (?), Federico Garcia Lorca (?), Frida Kahlo, Che
Illustration for a LATA foundation event.
The lata foundation is a funding organisation set up by the latin american travel association
to support charitable projects in latin america.
Source http://www.intomwetrust.com/
http://miriamelizabethworld.tumblr.com/